Si on laisse faire, on risque d'aller dans le sens d'une eugénisme, contraire au respect de la vie, depuis la fécondation, pronée par l'Eglise catholique.
Seigneur, modifie le coeur des personnes responsables (le parlement), afin qu'ils n'autorisent pas ce genre de recherche qui, s'il peut apporter un "soutien" aux parents, empêche de vivre des personnes que l'on ne connait pas sufisament, mais qui sont attachantes.
Laurence