Cette phrase vient d’un centurion romain, un envahisseur, supposé ennemi des juifs, qui va à la rencontre de Jésus pour demander une guérison, celle de son serviteur.
C’est quelqu’un de puissant, mais cela ne l’empêche pas de prendre soin des gens qui sont à son service, et d’aller au-devant de Jésus pour effectuer sa requête. Sa position sociale n’a plus d’importance ; pour lui, ce qui compte, c’est que son serviteur souffre, et qu’il voudrait que cela s’arrête.
Puissions-nous, au cours de cette journée, être attentif à ce qui se passe autour de nous, avoir l’humilité de penser aux autres, et présenter au Seigneur ce qui pourrait leur être utile.
A.M.
